vendredi 29 juin 2012

Blu-rays de juin. Tiens, ça rime pas du coup :(

C'est enfin l'été et cela apparemment motivé les vendeurs à solder leurs goodies.

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Le coffret Back to the Future pour commencer. Back to the Future 2 fait partie des premiers films que j'ai été voir adolescent et il m'a forcement marqué. Cette trilogie reste l'une des meilleures réalisation dans le genre et on pourra apprécier Michael J. Fox devenu très rare. Dead Poet Society est un classique des films inspirationnel et l'un des grands rôle de Robin Williams. Quant à Drive, il m'intriguait: une Palme pour un film pas vraiment calibré pour Cannes et Ryan Gosling...

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J'ai listé L'arnacoeur surtout pour Madame, qui aime regarder des films français et des comédies-romantiques. On verra bien. Pas de commentaires nécessaires sur Spaceballs. Si vous ne savez pas ce que c'est, regardez-le. Sucker Punch est un autre achat de curiosité. J'ai bien aimé 300 et Watchmen, aussi je voulait voir ce que Snyder pourrait faire tout seul.

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The Ides of March: rien que la distribution laisse songeur. J'ai rarement été déçu par M. Nespresso, donc, pas d'hésitation sur celui-là. Pour terminer, You Will Meet a Tall Dark Stranger: une comédie de Woody Allen. Sans soute pas à son meilleur, mais le moyen de Woody reste supérieur aux plus grands efforts de pas mal de réalisateurs.
En conclusion, un bon mois de juin pour mes emplettes, j'espère que juillet sera du même tonneau.

mardi 26 juin 2012

Married... with children saison 1


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Cette série culte des années 80 a fait ses débuts sur FOX en 1987. Elle met en scène la famille Bundy, résidant dans une banlieue de Chicago. Les Bundy sont des américains (très) moyens. Al, un vendeur de chaussures désabusé, est marié depuis 16 ans à Peggy, femme au foyer dont la seule activité ménagère est de regarder la télé. Ils ont deux enfants, Kelly, une ado marie-couche-toi-là vaguement punk et aussi bête que décolorée et Bud, un petit garçon malin et manipulateur. Pour faire contraste avec l'inculture et le manque de sophistication des Bundy, le show introduit Marcy et Steve Rhoades, les voisins des Bundy. Couple de jeunes mariés venant d'emménager, ils sont ambitieux, modernes et très superficiels. Marcy porte la culotte, cachant son insécurité derrière un féminisme de tous les instants. Steve se contente d'acquiescer, étant trop veule pour s'opposer à sa femme. Les deux deviennent rapidement les jouets du clan Bundy, Al et Peggy les utilisant tour à tour, soit pour tirer avantage de l'autre ou des Rhoades eux-mêmes.
Le succès de la série tient à la fois aux réactions improbables des Bundy, généralement motivées par la paresse et l'appât du gain, mais aussi grâce aux interactions des membres de la famille. Dysfonctionnelles et antagonistes, les relations entre les Bundy sont l'illustration de l'amour vache. Les dialogues sont à la hauteur: crasseux et vulgaires à souhaits, volontiers méchants mais toujours bien sentis. Ces-derniers contrastent là encore avec les manières propres et polies (et parfois pédantes) des Rhoades.

Chantre du politiquement incorrect, Married... with children rend une image de l'Amérique de la classe moyenne désenchantée, loin du clinquant de Wall Street et du conservatisme moral de l'ère Reagan. A voir et à revoir sans retenue.

vendredi 22 juin 2012

Gaming il y a 25 ans: juin 1987


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Comme chaque mois, retour sur l'actu jeux vidéo d'il y a un quart de siècle: le numéro de Tilt de juin 1987, grâce à Abandonmag.

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Le marché n'a pas changé depuis le mois dernier. Le ST continue de régner, avec 23 logiciels. Suivent les trois 8 bits: Amstrad CPC (22 titres), Commodore 64 (18 titres) et le Spectrum ZX (15 titres). Pour le reste, toujours les mêmes: Amiga, PC, Apple II, les Thomsons, Mac... Parmi les revenants: Exelvision et le MSX.

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Coté jeux, beaucoup de portages comme d'habitude: Flight Simulator et Silent Service sur Amiga, King Quest sur PC et King Quest 2 sur ST, L'heure du serpent sur Thomson, Marble Madness sur Commodore 64, bref du classique. Parmi les jeux plus notables, Vampire Killer sur MSX2, très bien reçu. Ce Castlevania est sorti peu après le premier jeu de la série sur NES. On trouve aussi un jeu Cinemaware: Sinbad sur Amiga, très apprécié apparemment (mais pas noté?). Pour les amateurs, la tripoté SSI mensuelle: un wargame, War in the South Pacific, un jeu de role, Realms of Darkness, un simulateur, Destroyer et un jeu de management de footbal americain, Computer Quarterback. On remarquera la subtilité et l'originalité des titres. Toujours dans l'originalité, Ubisoft nous offre Manhattan 95 sur CPC. En 1995, L'ïle de Manhattan a été transformée en prison et... Toute ressemblance avec une oeuvre existante serait fortuite. Enfin, un jeu original: The American Challenge sur PC, un simulateur de voilier. Comme à l'accoutumée, deux dossiers sont présentés. Le premier est consacré aux logiciels musicaux, avec une large gamme testée sur toutes les plateformes. Professionnels ou amateurs, il y en a pour tous les gouts et toutes les bourses. Dans la catégorie Pro, le vainqueur est ADAP-1 sur ST, facturé 22 000 frs, quand même. Chez les softs pour amateur, la rédaction recommande Advanced Music System, disponible sur Commodore 64 et Amstrad CPC. Le second dossier s'intéresse aux jeux de billiard. Mais avec seulement 3 jeux, il ne sert pas à grand chose.
Comme chaque mois, la liste des soft testés:
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Et la liste des éditeurs:
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Pour la machine du mois, on a encore du lourd avec le test de la Master System de Sega. Deux ans après son lancement japonais, cette console débarque enfin en France. La rédaction est impressionnée par le design et la qualité des jeux, mais elle rappelle le difficile combat que Sega va devoir mener face à un Nintendo dominateur et un Atari qui garde de beaux restes. Pour le reste, l'actualité est calme. IBM lance sa gamme PS/2, dans le but de reconquérir le marché du PC et compatible qui lui a échappé. OS2, VGA, jusqu'à 16 Mo de RAM, ces nouvelles machines en ont sous le capot. Et pourtant...
Voila, c'est fini pour cette fois. Vous pouvez retournez dans le présent, avec vos PC Windows 7, leurs écrans WQXGA et leurs 16 Go de RAM.

mardi 19 juin 2012

Un Moohbear au Canada: le vieux campus St George


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Après une visite du Church-Wellesley village le mois dernier, voici quelques photos du vieux campus de l'université de Toronto, prises autour de King's College Circle. Cette grande pelouse marque le coeur de l'université originelle, qui a depuis bien grandie. Elle se trouve entre College Street, St George Street, Hoshkin Avenue et Queen's Park Crescent:

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Alors, on y va, commençant par King's College Road, qui relie King's College Circle à College Street.

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Le grand machin qui dépasse, c'est la CN Tower, une gigantesque antenne de télévision (et l'un des 2 seuls trucs à voir à Toronto avec la Casa Loma). En tournant dans le sens des aiguilles d'une montre, vient ensuite Convocation Hall.

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Ce bâtiment datant de 1907 abrite une grande salle de réception. Elle sert principalement durant les cérémonies de remise de diplômes, comme c'est le cas en ce moment. La grande tente sur la photo est installée temporairement durant cette période. Ca fait toujours bizarre de voir des cohortes de nouveaux anciens étudiants en robe, mais avec ce qu'ils paient pour leur scolarité, je comprend qu'ils veuillent avoir une belle photo de leur diplôme. Bref... En continuant vers 9 heures, on tombe sur Simcoe Hall (1924), qui hébèrge le président et le conseil de l'université.

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Toujours en allant dans le même sens, on arrive sur Knox College (1915), une des sept facultés de théologie/séminaires de l'université.

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Toujours dans le même sens, il y a le J. Robert S. Prichard Alumni House (1958), que je n'ai pas pris en photo et ensuite la résidence Wilson (1954). La façade donne sur St George St et la cour sur King's College.

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Ensuite vient University College. Le bâtiment date de 1858 et il fait toujours partie de l'université. On y trouve aussi le Art Centre.

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University College est très prisé pour les mariages, fournissant un décor très apprécié des beaufs et nouveaux riches...


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En continuant après University College, il y a un deuxième cercle, le Hart House Circle, avec la Soldier's Tower (1924) juste derrière University College.

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Cette tour a été bâtie à la mémoire des membres de l'université qui sont mort durant la première guerre mondiale. Elle abrite un carillon que l'on peut entendre le 11 novembre, entre autres. Vient ensuite Hart House (1919), qui donne sont nom à la place (square? parc?).

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C'est un centre récréationnel pour les étudiants. On y trouve une salle de sport, une piscine, un thêatre, une cafétéria...
Au milieu du cercle est construit l'observatoire Louis B. Stewart (1857), qui sert maintenant de bureau au syndicat des étudiants.

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Sur la butte est planté un mât portant les drapeaux de l'université, de la province et du Canada, le tout flanqué de deux canons.

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Je suppose que c'est pour épater les visiteurs entrants le campus depuis Queen's Crescent. En parlant d'épate, un exemple classique de finesse et de bon goût offert par les mariés de University College.

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Si c'est pas la classe ça...

Toujours en allant dans le sens des aiguilles d'une montre, on retourne sur le King's College Circle avec la bibliothèque Gerstein. La construction date de 1892, mais il y a eu beaucoup de rénovations et changements depuis.

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C'est une bibliothèque scientifique énorme, une des plus grande du Canada. Ensuite vient le Medical Sciences Building (1969), la fac de médecine, qui borde King's College Road et termine ce tour d'horizon.

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Voilà donc pour le King's College Circle. Il y a d'autres coins chouettes sur le campus, trop pour les ajouter à ce billets. Peut-être une autre fois...

vendredi 15 juin 2012

God of War Ghost of Sparta


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Ghost of Sparta est le 6e jeu de la série et le second sur PSP après le réussi Chains of Olympus. Chronologiquement, il se place entre les deux God of War PS2. On retrouve Kratos, toujours aussi chauve et vénèr. Cette fois, il part à la recherche de son frèrot, enlevé par les Dieux pour prévenir l'accomplissement d'une prophétie. Je ne vais pas faire un dessin, mais comme à chaque fois que l'on essaie de changer le cours du destin, ça a super bien marché... Bref il s'embarque dans une nouvelle série de massacres, toujours aussi riche en démembrements, décapitations et éventrements.
Comme avec son prédécesseur, on est immédiatement conquis par les graphismes. Encore plus beau et fin, avec une animation plus fluide, Ghost of Sparta est une merveille à regarder. Une fois la claque visuelle passée, on retrouve vite ses marques. Le jeu se déroule exactement comme on peut s'y attendre, enchaînant les combats vifs avec des interludes de plateforme et quelques puzzles. Les boss répondent à l'appel, fournissant des ennemis grandioses faute d'être coriaces. En fait on trébuche bien plus souvent sur des packs de mobs bien vicieux que sur ces moments de bravoure incarnés. En sus de ses lames iconiques, Kratos reçoit un combo lance et bouclier, façon hoplite, utilisés dans le jeu pour certains puzzles et monstres. Il récupère aussi une triplette de pouvoir spéciaux et ses lames sont dotées d'une magie volcanique, nécessaire pour ouvrir des portes particulières et combattre les adversaires en armure. On retrouve encore des QTEs, pour finir certains monstres et aussi lors des combats de boss. On retrouve aussi le système d'upgrade à acheter, d'oeil/cornes/griffes à collectionner, etc. Tout les attributs d'un God of War sont là, conformément au cahier des charges.
En fait ce Ghost of Sparta est un peu comme la blanquette de Maman. On connait la recette par coeur, on est jamais surpris, mais c'est quand même délicieux. En comme la blanquette de Maman, quand c'est fini, on en veut encore...

vendredi 8 juin 2012

Deadwood saison 1


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Deadwood propose de revisiter la conquête de l'Ouest américain, encore pourrait-on dire. Mais cette série HBO lancée en 2004 se démarque immédiatement. Qualité de la production, mise-en-scène, casting... On sent tout de suite la patte de la chaîne (Rome, The Wire ou The Sopranos).
Deadwood, un camp de prospecteurs d'or, bati illégalement sur le territoire du Dakota, nominalement possession des indiens Black Hills et Dakotas. Deadwood, un no man's land juridique, où la seule loi qui s'applique est celle que l'on fait soi-même. La ville est aux mains d'Al Swearengen, propriétaire du seul saloon et maître de toutes les activités crapuleuses du coin. Al Swearengen n'aime pas les empêcheurs de tourner en rond, qu'il fait disparaître rapidement dans la mangeoire des cochons de M. Wu. Evidemment, l'arrivée de Wild Bill Hickok, célèbre justicier free-lance le met sur les nerfs, d'autant plus que ce dernier se lie vite d'amitié avec Seth Bullock, un autre dur-à-cuire à la droiture exacerbée. Les 12 épisodes relatent l'affrontement de ces hommes au tempérament bien trempé autour des affaires de Alma Garret, en possession d'un titre sur une parcelle riche en or. Chaque camp essaie de prendre l'ascendant sans que les choses ne dégénèrent, un couteau entre les omoplates ou une balle entre les deux yeux étant très vite arrivé. Plus largement, la série explore le fonctionnement d'une société dont les règles ne dépendent que des rapports de force brute entre ses membres.
Le reste de la distribution n'est pas en reste, créant un ensemble de personnalités aux intérêts et caractères hétéroclites, mais toujours crédible. Le scénario louvoie entre les différents personnages, brodant des arcs longs et complexes qui s'entremêlent à des histoires plus courtes, sujet de l'épisode du jour, chacun se déroulant sur en effet une journée. Si les scénario et les personnages sont sans défaut ou presque, ce sont les dialogues qui élèvent le show aux nues. Si la plupart des séries historiques s'attachent à utiliser un langage "authentique", les échanges de Deadwood sont dans une classe à part. Jamais on a entendu des répliques si étrangères et si vraies à la fois. Les dialogues ne se contentent pas de placer quelques mots ou expressions désuètes pour rappeler l'époque. Non, chaque phrase semble sortir d'un livre du XIXe siècle, totalement crédible et toujours compréhensible, un vrai tour de force (même si l'auteur s'est beaucoup inspiré de correspondances de l'époque).
Deadwood montre encore une fois comment la télévision peut humilier Hollywood, avec des histoires matures, complexes, bien écrites, bien réalisées et bien jouées... A voir absolument.

mardi 5 juin 2012

Phoenix Wright Ace Attorney

Premier jeu de la série Ace Attorney, Phoenix Wright a une longue histoire. Initialement sorti en 2001 sur GBA, puis ressorti sur DS en 2005 avec un chapitre en plus, le jeu a finalement atterri sur iOS en 2009-2010. Jeu d'aventure/enquête, Phoenix Wright Ace Attorney propose d'incarner un avocat débutant. Chaque chapitre alterne des phases d'investigation et d'audience, chargeant le joueur de récupérer témoignages et pièces à conviction pour ensuite les utiliser au tribunal pour démonter les dépositions mensongères des témoins et faire acquitter le client. Ce portage de la version DS reprend les mêmes graphismes et animations, présentant de fait un air daté, le système pouvant faire beaucoup mieux. Le jeu se joue avec le téléphone vertical, double-écran DS oblige et l'interface a été un peu modifiée pour s'adapter à l'écran tactile. Le résultat est fonctionnel mais pas transcendant. Les séquences d'observation souffrent du manque de précision et l'obstruction visuelle causée par la présence d'un gros doigt qui cache le curseur (et la moitié de l'image par la même occasion). Au dela de ces problèmes propres à la conversion, l'interface du jeu accuse son âge. Faire quoique ce soit nécessite de naviguer dans plusieurs menus et le manque de raccourcis se fait très vite sentir. Bref, le jeu à plus de dix ans et cela se voit. Voila pour la forme. Sur le fond, le jeu souffre de quelques défauts très saillants, certains propres au jeu d'aventure, d'autre à mettre au compte de l'écriture. En effet, les puzzles et énigmes apparaissent parfois arbitraires ou illogiques, mais c'est le lot du genre. Par contre, ce jeu est aussi complètement linéaire. En fait, il est souvent nécessaire de revisiter certains lieux, sans raison particulière, pour déclencher un événement et faire avancer l'enquête. Même chose durant les audiences, certains témoignages ne peuvent être attaqués et un autre personnage intervient. Ce genre de deus ex machina permet de créer des rebondissements mais nuit au flot du jeu. On citera aussi les game over, apparaissant lorsque l'on commet trop d'erreurs durant une audience. Ils sont d'autant plus mal-à-propos qu'il est fréquent d'avoir compris quelle pièce soumettre, mais de le faire au mauvais moment. Malgré ces défauts, les enquêtes de Phoenix Wright restent amusantes. Le ton général est assez loufoque faute d'être fin (le détective s'appelle Dick Gumshoe...) et les situations sont souvent plus bizarres que dramatiques. De même, les témoins sont complètement à l'ouest pour la plupart (voire même non-humain). On oublie (trop?) vite qu'il s'agit de meurtres pour se concentrer sur les interrogatoires et passer les lieux au peigne fin. Les circonstances réelles de l'affaire se dévoilent peu à peu jusqu'aux aveux du véritable assassin, brisé à la barre des témoins par un Phoenix Wright triomphant (ou surpris). Dans l'ensemble, Phoenix Wright Ace Attorney rempli encore son cahier des charges. En dépit de ses limitations, il offre encore un bon moment au joueur grâce à son thème original et son humour potache.

vendredi 1 juin 2012

Jeux du mois de mai

Un petit mois, avec juste un jeu ajouté à ma bibliothèque, Okamiden sur DS. En fait ce jeu aurait du faire partie de la brouette du mois dernier, mais il a "disparu" entre les mains de nos chers services postaux. Heureusement, j'ai été remboursé sans problème et je l'ai re-commandé. Le second exemplaire est arrivé sans encombre.

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Il y a de fortes chances que ce soit mon dernier achat sur DS, à moins que je ne trouve encore une perle rare.